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La Faune en Corse


La faune Corse présente plusieurs espèces menacées ou en danger de disparition. Cette forte proportion d’endémiques s’explique essentiellement par l’isolement, assez ancien, du microcontinent corso-sarde et la diversité notable des habitats dans notre île montagneuse.

  • Le mouflon de corse (a Muvra)

Tout un poème… (À tel point que bon nombre de chanteurs en ont fait une chanson, certains même ont été inspirés pour trouver un nom de groupe, comme « I MUVRINI »…).

Mouflon corsicaEn véritable « roi de l’île », cet ongulé du genre Ovis, pour un poids moyen de 30 à 60 kg, est probablement issu d’un mouton du Moyen-Orient et vit en Corse depuis le Néolithique. Longtemps « braconné » on ne compte plus actuellement que quelques centaines d’individus qui doivent leur survie aux deux sanctuaires de Bavella et du Cintu. Interdit de chasse depuis 1955, il se réfugie dans les montagnes escarpées à milieu ouvert et dans les forêts quand les montagnes sont trop enneigées. Essentiellement herbivore, vous aurez peut-être la chance d’en voir un avec une bonne paire de jumelles face au vent dans les endroits cités plus haut. Courage et surtout, patience…

  • Le sanglier (u Cignale)

Ah, le sanglier ! Il pourrait figurer sur le drapeau corse que ça ne choquerait personne ! Autre figure emblématique de l’île de beauté, il fut immortalisé avec « Asterix en Corse » il n’y a pas si longtemps.sanglier en corse La chasse au sanglier en Corse est une véritable institution. Donc, si vous voyez quelqu’un sur le bord de la route en treillis avec un fusil à la main, non ce n’est pas un clandestin ! Il arrive souvent en battue que les « postes » (endroit ou le sanglier est susceptible de passer) soient situés au bord de la route ! Le légendaire sanglier est en fait un puissant et robuste cousin sauvage du porc. Sa robe est sombre, ses pattes sont courtes, il est trapu et a une croupe basse. Le mâle est également doté de deux courtes défenses qui peuvent s’avérer redoutables dans certains combats contre les chiens de battues ou pendant la période des amours de novembre à décembre. Il se nourrit de glands, châtaignes, racines, fruits, truffes qu’il déniche grâce à son groin en labourant la terre, ce qui donne à sa viande ce goût fort et authentique. Les mâles sont solitaires, rapides et puissants, les femelles vivent en groupes avec leurs marcassins (que l’on reconnaît à leur « pyjama rayé »).

  • Le cochon (u Porcu)

cochon corsicaTrop souvent confondu avec le sanglier, car de morphologie similaire, le « cochon de corse », comme certains l’appellent, est reconnaissable à son attitude et sa couleur : son pelage est beaucoup moins foncé que celui du sanglier et son comportement beaucoup moins sauvage. Vous le verrez souvent vagabonder à l’entrée des forêts et des villages, groin collé au sol à la recherche de racines ou de détritus comestibles !


  • L’Ane corse (u Sumeru)

« Chi nasce mulu un more cavallu » (qui naît mulet ne meurt cheval)…

Très utilisé dans les années soixante puis quasiment disparu de l’île, l’âne corse retrouve peu à peu de nos jours une population respectable et un statut respecté. En effet, jadis utilisé pour sa robustesse dans le transport de denrées et le travail agricole, l’âne est aujourd’hui très recherché pour la promenade (souvent à but lucratif d’ailleurs) ou simplement comme animal de compagnie. Il n’est d’ailleurs pas rare de voir dans la presse locale : « un âne a été volé ! ? ! »…

  • Le renard (a Volpe)

« A volpe perde u pele ma u viziu mai » (le renard perd le poil mais jamais le vice) ! Ce mammifère carnivore de la famille des « canides », est un véritable cauchemar pour les éleveurs de poules et autres volailles tant il est agile et vicieux. Je vous ferai grâce de toutes les expressions illustrant ces propos. On le reconnaît aisément par sa couleur rousse, sa longue queue touffue, ses oreilles « pinzuti » (pointues…) ses pattes fines et son museau allongé.

  • Le Cursinu

Le Cursinu est un chien de race corse, il est rustique, robuste et réputé être polyvalent : berger, gardien et chasseur. Pour le reconnaître : sa robe est foncée et tigrée de couleur rousse, son poil est ras, sa truffe est large et noire, son museau en forme de pyramide et ses lèvres sont minces. Au garrot les mâles font de 46 à 58 cm, les femelles, 3 cm de moins. Aujourd’hui on en compte environ 2 000 sur l’ensemble du territoire ; depuis plus de 20 ans (1984) des passionnés se battent pour sa sauvegarde et la reconnaissance de sa race (obtenue en 2003). Donc, si vous en croisez un, ne pensez surtout pas, comme un certain Jack Palmer dans L’enquête corse, qu’il s’agit là d’un « bon bâtard »…il pourrait se vexer !

  • Le hérisson (u Ricciu)

Ce petit mammifère qui semble tout droit issu de la préhistoire, vit la nuit. Avec ses petites pattes à 5 doigts, son museau pointu et son groin noir, sa particularité réside dans ses poils, mous en dessous, ils deviennent des épines sur les autres parties du corps. Sorte de système de défense contre les prédateurs, u Ricciu était dans le temps très apprécié par les anciens pour… son goût ! Il n’était pas chassé mais ramassé souvent blessé sur les routes de campagne. Pour le cuire son corps était enduit de terre glaise et placé directement au four, une fois cuit, la carapace ainsi formée se détachait d’un bloc avec les épines !

  • Le gypaète barbu (l’altore)

« Celui qui habite les hauteurs… », est également un des oiseaux les plus grands d’Europe avec 2,80m d’envergure pour 6 kg ! 10 couples nicheurs ont été recensés en Corse, ce qui n’est pas négligeable étant donné la menace de disparition pesant sur cette espèce. Sa nourriture est composée essentiellement d’os de carcasses d’animaux morts. Le moment du festin est d’ailleurs assez impressionnant à observer tant il est vrai que c’est la moelle des os qui intéresse ces grands vautours. Ainsi les os les plus gros seront littéralement « fracassés » sur ce que l’on appelle les pierriers – dalles de roches plates – d’une altitude spectaculaire. On comprend à présent pourquoi l’Altore est dépendant de la migration des troupeaux, de la pratique pastorale et en montagne du peuplement des mouflons de l’île.

  • Le balbuzard pêcheur (l’alpana)

Grâce aux efforts du Parc Naturel Régional de Corse (P.N.R.C.) et l’existence de la réserve de Scandola, cette espèce remarquable est passée de 4 couples en 1970 à pratiquement 35 de nos jours. Des serres capables de capturer les proies les plus glissantes et une vue perçante font de ce rapace au corps blanc et aux ailes foncées un redoutable pêcheur ! C’est un rapace diurne qui se nourrit – vous l’aurez compris – exclusivement de poissons.

  • Le faucon pèlerin (u falcu)

Silhouette typique, vol aux battements d’ailes saccadés et rapides, couleur grise, à l’affût des moindres mouvements d’un pigeon ou d’un Chocard (ressemblant au corbeau), tels sont les principaux critères pour reconnaître un faucon pèlerin en Corse. Chasseur impitoyable, fidèle en amour, rapide comme le vent, on compte une centaine de couples de ce prédateur supersonique en Corse, la plupart vivant sur le littoral Ouest, l’intérieur des terres abrite un ou deux couples par vallée. Un couple a été récemment recensé à Caporalino (commune d’Omessa), site classé « Natura 2000 », et sera le théâtre d’un observatoire du faucon pèlerin dans la tour même de Caporalino (c’est un projet en cours).

  • L’aigle royal (l’altagna)

Sa population est estimée à une trentaine de couples répartis le long de la chaîne centrale, dans le cap Corse et en Castagniccia. C’est un rapace diurne d’une envergure de 2 m à 2,5 m, il se nourrit de mammifères de petite et moyenne taille (des reptiles aux renards), vous le reconnaîtrez à son vol absolument majestueux !

  • Le milan royal (u filanciu)

De couleur brune roux aux ailes fines et coudées, il a une queue fourchue et une envergure d’1m50 environ. Il se nourrit de petites proies et de charognes qu’il trouve dans les espaces très ouverts en planant au gré du vent.

milan

  • La sitelle de corse (a Picchjarina)

On en compte environ 3 000 aujourd’hui. C’est un passereau de petite taille (12,5 cm) au corps compact et possédant une courte queue et des petites pattes avec un long bec fin et étroit. De couleur grise sur le dos et blanchâtre sur le dessous (le mal ayant une calotte noire), la Sittelle vit entre 800 et 1 800 mètres presque exclusivement dans les forêts froides de pins Laricci de l’intérieur de l’île (Tartagine et Ospédale) dont les graines constituent l’essentiel de son repas. Etant donné l’habitat restreint dans lequel elle évolue, sa population n’est pas très importante (de l’ordre de quelques milliers) et fait l’objet actuellement d’un programme de conservation de l’espèce avec le P.N.R.C. et l’O.N.F. Présente sur l’île depuis plusieurs milliers d’années, la sitelle de Corse voit son habitat de plus en plus menacé par les flammes, à tel point que les effectifs ont chuté de 50 à 60 % de 2002 à 2004 !

  • Le merle noir (u merlu) et la grive (a trizzina)

Très répandus en Corse, le merle et la grive sont très appréciés pour leur goût unique. Ces derniers se nourrissant en grande partie d’arbouses et de myrte, leurs chairs ont une saveur très prononcée de maquis. La grive, « Turdus viscivous », mesure en moyenne 27 cm, a le corps brun clair et la poitrine tachetée, le merle, « Turdus merula », a quant à lui un plumage noir et un bec orangé, sa taille ne dépasse pas les 25 cm. On les trouve beaucoup dans les arbousiers, oliviers, myrtes et genévriers, ce qui constitue, avec les vers de terre, l’essentiel de leur repas.

  • Le merle bleu (a Merula Turchina)

On le trouve du littoral jusqu’à 1 800 mètres d’altitude dans les parois rocheuses avec peu de végétation, très souvent aussi dans le Cap Corse et sur la Côte occidentale. Comme la plupart des oiseaux nicheurs en altitude qui redescendent en hiver vers le littoral, on peut rencontrer le merle bleu à cette période dans certaines villes et villages.

  • La Tortue d’Hermann (a cuppulata)

Naguère très répandue dans le monde, c’est aujourd’hui un des reptiles les plus rares de France, elle est d’ailleurs protégée par la loi car en voie de disparition. On la reconnaît par sa taille – environ 20 cm – et par sa couleur orange, rayée de noir, elle vit principalement dans le maquis. En véritable fossile vivant, ses origines remontent à plus d’un million d’années ! Elle peut vivre jusqu’à 100 ans. Malheureusement, malgré l’exploit d’avoir traversé les âges, elle est aujourd’hui menacée par la bêtise humaine : incendies à répétition, écobuages, urbanisation à outrance détruisant son habitat possible et ramassage par des personnes peu informées ou malveillantes sont les paramètres incontestables de sa disparition définitive ! C’est pourquoi sa sauvegarde relève impérativement d’une prise de conscience collective !


  • La Tortue Cistude (a cistudine)

Autrement appelée la « tortue boueuse » elle aime les marécages et les grands cours d’eau. Se nourrissant d’insectes, de charognes, de poissons et de vers, elle est aussi capable de plonger sous l’eau et d’y rester pendant plus d’une demi-heure pour fuir un intrus ou un prédateur. Cette petite tortue de la famille des Emydidae se retrouve particulièrement dans la région de Corte, Ponte-leccia et sur le littoral.

  • Le lézard tyrrhénien ou Tiliguerta (a Buciartula)

Il est vert taché de noir, mesure environ 20 cm et est endémique à la Corse et à la Sardaigne. Il vit surtout sur le littoral mais également jusqu’à 1 800 mètres d’altitude, son habitat est un milieu sec ensoleillé où la végétation est basse.

  • Le Porte-queue de corse (a Farfalla)

De 3 à 4 cm on peut le voir voler d’avril à juillet jusqu’à 2000 mètres d’altitude. C’est un papillon cyrno-sarde qui semble flotter plus que voler… d’une insoutenable légèreté !

  • Le petit Rhinolophe (u Topu Pinnutu)

Occupant les grottes et les bergeries abandonnées, c’est une des plus petites chauves-souris existant en corse (de 20 à 30 cm d’envergure pour seulement 4 à 7 grammes) parmi les quelque 20 espèces y habitant.

chauve souris

  • L’Euprocte de corse (a Tarentella)

Avec la particularité de respirer par la peau et la bouche (il n’a pas de poumons, c’est un amphibien endémique d’environ 5 à 7 cm), il se déplace sous l’eau en marchand au fond malgré sa queue plate qui lui permettrait de nager (c’est un Rebelle !). On le trouve à peu près partout en Corse de la mer à la montagne.

  • La grenouille (a Ranoghja)

Elle est verte, petite, ne mesurant pas plus de 10 cm et présentant deux lignes jaunes sur chaque flanc ainsi qu’une médiane avec des taches noires. La Rana Esculenta, de son nom scientifique, se trouve surtout à basse altitude mais il n’est pas rare d’en trouver jusqu’à 600 mètres d’altitude. Eléments absolument incontournables du milieu humide et marécageux, e Ranoghje sont celles qui vous chantent par dizaines leur musique inimitable au soleil couché, pour bercer vos nuits d’été…

  • La Malmignatta

Seul animal mortel de Corse, la Malmignatta fait partie des 53 arachnides endémiques à la Corse sur les 373 espèces différentes. On la trouve jusqu’en moyenne montagne à 600 mètres d’altitude dans les herbes et cachées sous les pierres. Pour la reconnaître : c’est une araignée courte sur patte, son abdomen est volumineux (jusqu’à 2,5 cm de diamètre) et recouvert d’un duvet noir luisant tacheté de rouge. Elle est équipée de deux puissants crochets de chaque côté de la mâchoire qui libère, après la morsure le puissant venin.

Qu’est ce qu’on trouve Sous la mer…

« La Corse, paradis de la pêche et de la plongée sous-marine »… ainsi pouvait-on lire sur une ancienne pancarte d’entrée de village, Tizzano en l’occurrence. Vous imaginez à présent à quel point le monde du silence en Corse est un bonheur pour les yeux de celui qui s’aventure dans les eaux bleues cristallines de la Méditerranée. Les poissons les plus courants sont :

  • Les congres et murènes :

Aiguille de mer pour le congre, la murène est quant à elle beaucoup plus agressive et féroce. Profil allongé et pouvant atteindre jusqu’à 2 mètres pour le congre, c’est un poisson qui se cache dans sa faille le jour, laissant juste sa gueule apparaître pour sortir chasser la nuit !

  • Le mérou :

Attention c’est une espèce protégée donc interdite de chasse. Il peut mesurer jusqu’à 1,5 mètre, vous le reconnaîtrez par son apparence de vieux loup des mers à la lèvre inférieure tachée de blanc. C’est un poisson très sociable et vous aurez beaucoup de facilité à l’approcher, il vit la plupart du temps dans des trous.

  • Les rougets, les girelles, les Sarrans, les rascasses, le chapon,

Vivant le plus couramment autour des rochers et des algues, ils sont très appréciés dans la légendaire soupe de poissons corse.

  • La mostelle, le labre, le saint-Pierre, le corb, la saupe, le sar, le dentie, la daurade, la vive,

Ce sont des poissons que l’on trouve principalement sur le sable.

  • Les crustacés :

Crabe, homard langouste, bernard-l’hermite, cigale de mer et galathée de moins en moins présents en Corse et de plus en plus rescapés dans les profondeurs : il n’est que d’écouter les récits des grands-parents et arrière grands-parents qui nous font rêver avec leurs histoires de langoustes pêchées à la main… lorsqu’on sait que pour trouver une langouste de nos jours il faut descendre à 50 ou 100 mètres de profondeur, on prend très vite conscience des dégâts qu’ont pu occasionner pollution, pêche intensive et braconnage en tous genres !

  • Les oursins…

De nos jours la pêche aux oursins est une véritable tradition en Corse – en famille ou entre amis il est très agréable de se retrouver sur la plage pour une bonne oursinade le dimanche – et il n’est pas exclu que nos enfants et petits enfants ne nous croiront pas lorsque nous leur parlerons de magnifiques oursins pêchés à seulement quelques mètres du bord… à méditer !

Vous trouverez également bon nombre de mollusques tels que la seiche, le poulpe aux huit tentacules, la grande nacre (plus rare) qui est protégée et qui peut mesurer jusqu’à 1 mètre plantée dans le sable, et enfin les délicieuses coquilles saintjacques.

  • Le célèbre corail rouge de Corse

Bon nombre de magasins et artisans (on peut même parler d’artistes dans ce cas précis avec de tels matériaux !) en font leur principale attraction ! (Voir pour chaque région les magasins concernés). Le corail est rouge et de consistance dure décoré de polypes blancs, on le pêche entre 80 et 100 mètres de profondeur. Le corail est de plus en plus rare en Corse, à tel point qu’au fil des ans la taille de ses branches ne dépasse plus guère les 10 cm et ne se trouve pas à moins de 50 mètres de profondeur dans certains endroits gardés secrets. A ce jour on ne compte que quelques corailleurs en Corse susceptibles de pêcher le précieux corail rouge aussi cher qu’il est rare.

Sachez également qu’en Corse le corail fait partie des traditions et des croyances. Aujourd’hui encore il reste synonyme de protection et s’offre traditionnellement sous plusieurs formes en pendentif et en maintes occasions (avec une main en corail le pouce rentré ou une main faisant les cornes que l’on épingle sur un vêtement ou à l’intérieur du landau du bébé), plus particulièrement pour une naissance afin de protéger le nouveauné du « mauvais oeil » (sorte de maléfice jeté par jalousie).

Qu’est ce qu’on trouve sous l’eau des rivières…

  • La truite Macrostigma (a Truita)

Quatre truites peuplent les cours d’eau de Corse : « l’arc en ciel » ainsi que 3 souches de la truite « fario » : « l’Atlantique » (importée), la « Méditerranéenne » (sauvage) et la « macrostigma » (sauvage). Originaire des torrents corses depuis 15 000 ans, la « salmo truita macrostigma » a été classée « espèce d’intérêt communautaire » par l’Europe. Elle est de petite taille et à forte pigmentation, présente un gros point noir sur l’opercule et change d’apparence en fonction du milieu dans lequel elle évolue. Ce serait en quelque sorte une sous race (sans discrimination aucune) de la truite continentale. Peut-être serons-nous malheureusement amenés à être les témoins de sa disparition un jour si les truites fario issues de la pisciculture et les truites arcen- ciel continuent à être introduites. Dommage car son goût est exquis ! Heureusement, et saluons ici leurs efforts, des hommes passionnés ont mis en place un programme (« programme Life ») pour la conservation de la truite Macrostigma basé sur la surveillance et la reproduction artificielle de celle-ci. (Pour en savoir plus voici un lien intéressant : http://www.lifemacrostigma.org/descriptionespece.php)

© Crédits photos : Marc CECCHETTI, Cyril VIENNE, GREGDESBOIS, Luc VIATOUR, Manfred HENF, METTMANN, Nathalie DIAZ, Richard BARTZ, Stéphanie BOUYRIE.